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Dépôt de bilan – Comment Olivier Seban s’en est remis

Aujourd’hui je partage avec vous une étude de cas intéressante d’un entrepreneur en série qui a vécu un dépôt de bilan à cause du défaut de paiement d’un client, et qui a eu du mal à s’en remettre mais qui l’a fait : Olivier Seban, auteur notamment du bestseller “Tout le monde mérite d’être riche”.

En effet, je parle souvent des succès, et je me suis dit que parler des échecs serait aussi intéressant, pour une fois ! 😉

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Transcription texte (littérale) de la vidéo dépôt de bilan:

Bonjour, ici Olivier Roland. Bienvenue dans cette nouvelle vidéo. Je suis actuellement avec Olivier Seban.

Olivier Roland : Salut Olivier !

Seban Olivier : Bonjour Olivier !

Olivier Roland : C’est les deux Olivier, en fait, aujourd’hui. Et donc, Olivier Seban, vous le connaissez sans doute. C’est l’auteur du livre « Tout le monde mérite d’être riche » qui est un best-seller, plus de 100 000 exemplaires dans le monde, 50 000 exemplaires en France.

Seban Olivier : Et traduit en chinois, en coréen, en espagnol, bon Ok. Après, ça fait prétentieux.

Olivier Roland : Alors, ce que les gens ne savent peut-être pas, c’est que tu es aussi un entrepreneur en série.

Seban Olivier : Ouais.

Olivier Roland : Tu as créé à peu près une dizaine d’entreprises, c’est ce que tu disais.

Seban Olivier : A peu près.

Olivier Roland : Dont la plupart ont été des succès.

Seban Olivier : Oui

Olivier Roland : Mais tu me parlais, il n’y a pas longtemps. Il y en a une où tu as déposé le bilan.

Seban Olivier : Ouais.

Olivier Roland : Alors, je me suis dit voilà, on parle toujours de succès. C’est aussi intéressant de parler un petit peu des échecs. Alors est-ce que tu peux nous raconter ce qui s’est passé ? Comment tu t’en es sorti ? Comment tu l’as vécu ?

Seban Olivier : Ah ! Comment j’ai vécu. En réalité, c’est un demi-échec. Le problème dans une entreprise, si tu veux, tu as deux choses. Tu as l’aspect commercial qui te permet de rentrer de l’argent et tu as l’aspect gestion qui gère cet argent. Mon problème, pourquoi j’ai déposé le bilan, c’est que mon principal client a déposé le bilan. Il m’a emmené avec lui. Pourquoi ? Parce que, bon, je ne devrais pas le dire surtout quand j’écris un bouquin qui s’appelle « Tout le monde mérite d’être riche ». A cette époque là, je dirais comme un nul. J’allais dire autre chose. Et donc, bon, il m’a emmené et je faisais trop de crédit client. Et puis basta, quoi !

Olivier Roland : Waouh ! C’est-à-dire tu permets à ton client de payer à 30 jours ou 60 jours.

Seban Olivier : Voilà. 30, 60 jours.

Olivier Roland : Du coup, tu avais un problème de trésorerie.

Seban Olivier : Et je me rappelle à l’époque puisque c’était en 88.

Olivier Roland : Oui.

Seban Olivier : Il me devait plus d’1 million de francs et donc, c’était beaucoup d’argents quand même à l’époque. Bon voilà, il m’a emmené avec lui.

Olivier Roland : C’est une entreprise de quoi ? D’informatique ?

Seban Olivier : Oui d’informatique, ouais.

Olivier Roland : Donc, tu vendais des matériels informatiques.

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Seban Olivier : Je vendais du matériel informatique sur Mac, sur Apple. J’ai beaucoup bossé dans le monde Apple.

Olivier Roland : Alors là, c’est très intéressant parce que ce que tu nous dis finalement, c’est que l’entreprise a dû déposer bilan non pas parce qu’elle ne fonctionnait pas. Elle fonctionnait très bien au contraire.

Seban Olivier  : Je n’avais aucun problème commercial.

Olivier Roland : Mais c’était la manière dont elle a été structurée qui a fait que ça se plantait.

Seban Olivier : J’étais mauvais au niveau gestion, quoi.

Olivier Roland : Voilà. C’est le concept. Si vous payez du matériel même à 30 jours auprès d’un fournisseur et que vos clients vous paient à 90 jours, pendant 60 jours, vous avez le différentiel. Et si vous faites trop de vente, vous vous retrouvez dans le rouge.

Seban Olivier  : Voilà, un problème de trésorerie.

Olivier Roland : Si vous avez un défaut de paiement aussi.

Seban Olivier  : Pour illustrer ça, j’ai remonté une boîte toujours dans le même domaine. J’ai dit : « Bon, je vais essayer de faire quelque chose ». Après, il faut que tu analyses pourquoi tu as foiré ? Mais commercialement, je n’avais pas de problème. Donc, j’ai dit : « Olivier, ne sois pas bête ». Tu dis : « Ok, tu sais vendre, gère mieux ! » Alors, après, j’ai remonté une boîte, j’ai dit : « C’est terminé le crédit client. C’est tu paies cash. »

Olivier Roland : Tu as tiré parti de tes erreurs. Ça, c’est important. Mais est-ce que tu peux nous raconter comment tu l’as vécu le dépôt de bilan ?

Seban Olivier  : Attends, je vais finir quand même.

Olivier Roland : Ah, d’accord. Vas-y.

Seban Olivier  : Je vais finir. Résultats des courses, au niveau du bilan, j’avais… On va parler un peu chiffre, comptable. Pour ceux qui connaissent, vous allez vite comprendre. Le délai moyen de paiement client, c’était 14 jours parce que c’est le temps que tu encaisses le chèque ou n’importe quoi, 14 jours, et délai moyen de paiement fournisseur, 60 jours.

Olivier Roland : Donc, tu étais toujours en trésorerie positive.

Seban Olivier  : Excusez-moi du terme, on dégueulait de trésorerie.

Olivier Roland : C’est très élégant.

Seban Olivier  : Mais à tel point aussi que pour donner des idées de la progression de la boîte, c’est première année 9 millions, deuxième 26, troisième 45.

Olivier Roland : Chiffre d’affaires ou pas chiffre d’affaires ?

Seban Olivier  : Oui. Et quatrième, on était pratiquement à 100 millions.

Olivier Roland : Alors ce que j’aime (0 :03 :24), c’est qu’avec un système comme ça, tu peux augmenter les ventes, on va dire, à l’infini et tu es sûr que de toute façon, tu ne vas pas te retrouver dans le rouge puisque tes clients te paient avant que tu paies les fournisseurs.

Seban Olivier  : Mais ça va beaucoup plus loin que ça parce que quand tu as du cash, tu vas voir tes fournisseurs, tu lui dis : « Ecoute, je te paie cash, je te mets le fric sur la table, je te prends – je ne sais pas – 500 pièces – je dis n’importe quoi – combien tu me fais ? Alors, non seulement, il dit : « Je vais empocher ». En plus, il ne va pas voir tes concurrents. Donc, c’est toi qui récupères le matériel.

Par exemple, je vais te donner un ordre d’idée. On était revendeur Apple. On était Apple center à l’époque. Ça n’existe plus. Et j’allais chez Apple et j’ai dit : « Je t’achète tous tes fins de séries ». Ils allaient arrêter une bécane, j’ai dit : « Ok, combien il t’en reste Apple France ? Tu en as 500 ? Envoie. » On paie cash, machin et tout. Donc, on avait des prix. Les concurrents, les autres concessionnaires Apple, ils ne pouvaient pas vendre. Ils n’avaient plus de produit et ils les achetaient à moi.

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Olivier Roland : Excellent !

Seban Olivier  : Ça a été fantastique.

Olivier Roland : Donc, voilà. Avoir du cash, ça permet d’avoir un effet de levier important. Tu peux négocier plus facilement.

Olivier Seban : Ça, c’est énorme. Tu sais il y a une expression.

Olivier Roland : C’est simple. C’est que tous les clients payent avant les fournisseurs.

Seban Olivier  : Ça va encore plus loin que ça parce qu’à partir du moment où tu as du cash, au lieu de le laisser à la banque, tu peux faire du stock. Et quand le gars, il vient, tu l’as en stock. Bon Ok, maintenant avec Internet, c’est complètement virtualisé. On ne sait plus très bien. Mais à l’époque, le gars, il rentrait dans le magasin : « Vous l’avez ? » « Oui ». « Ok, je le prends ».

Olivier Roland : Si tu ne l’as pas, il va voir le magasin à côté.

Olivier Seban : Voilà. Et quand il est dans l’autre magasin, bien sûr, il n’avait pas. Ben, il est venu chez nous. Et tu n’avais même pas spécialement besoin de casser les prix. C’était incroyable. Moi, je te dis : on arrivait à 100. C’est plus de 100 millions de chiffre d’affaires. Au final, je ne sais plus combien on gagnait mais après impôt, on était à 3 à 4%. Donc 3% sur 100 millions après impôt, tu vois ce que ça laisse.

Olivier Roland : Oui, c’est énorme.

Seban Olivier  : Après, j’ai revendu la boite et la boite, tu la vends sur la valorisation. Tu la valorises par rapport à ce que tu as gagné. Ah ouais. Ça faisait beaucoup et j’ai eu un gros chèque.

Olivier Roland : En tout cas, un excellent exemple d’un entrepreneur qui a fait une connerie, qui s’est rendu compte de sa connerie et qui a fait en sorte que la prochaine entreprise, tu as la qualité (0 :05 :39) de le faire. Tu as bien tiré parti de …

Seban Olivier  : Il faut savoir qu’on a tous le droit d’échouer et quel que soit le domaine, que ce soit l’entreprise, perso, n’importe quoi. Mais il faut savoir pourquoi on a échoué et ne pas se masquer la réalité. A partir du moment où tu sais pourquoi tu as échoué, tu dis : « Est-ce que je peux recommencer mais en changeant de schéma de fonctionnement » ou dire tout simplement si tu essaies de vendre, je ne sais pas, des moon boots dans le désert, à mon avis, ça ne va pas marcher. Et là, la source, ça va être le produit qui n’est pas adapté à l’environnement. Bon, là, ce n’était absolument pas le cas. Informatique, en pleine explosion à l’époque, je n’avais pas de raison de foirer.

Olivier Roland : Est-ce que tu peux juste partager avec nous parce que, Ok, on a vu que tu as rebondi, tu as tiré parti de tes erreurs, etc. Mais sur le moment, comment tu t’es senti ? Comment tu as vécu ça ? Est-ce que ça a été facile ? Difficile ? Est-ce que tu as eu envie d’abandonner tout ? Qu’est-ce qui s’est passé ? Parce que, voilà. Tu as quand même une entreprise qui a fait faillite. Ce n’est pas facile à vivre, j’imagine.

Seban Olivier  : J’ai fait une dépression.

Olivier Roland : Tu as fait une dépression ?

Seban Olivier  : Il y avait plein de choses mélangées. Te dire que ce n’était qu’à cause de ça, je ne crois pas. Mais j’ai fait beaucoup de choses, à un moment, à cette époque-là. J’ai fait beaucoup de choses. J’ai fait un enfant avec ma femme tout seul. J’avais acheté un appartement et je crois qu’il y avait un cumul de choses, il y avait une pression. Il y a eu cet évènement-là, et j’ai pété les plombs. J’ai fait une dépression qui a duré 2 ans.

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Olivier Roland : Ah, quand même !

Seban Olivier  : Ouais, parce que je n’ai pas voulu « me soigner », c’est-à-dire que je n’ai voulu prendre d’antidépresseur, machin. J’ai dit : « je m’en sortirais tout seul ». Mais honnêtement, je vous dis, j’étais au fond du trou pendant 2 ans.

Olivier Roland : Tu t’en es sorti tout seul finalement ou pas ?

Seban Olivier  : Tout seul.

Olivier Roland : Waouh !

Seban Olivier  : Tout vraiment.

Olivier Roland : Tu as créé ta nouvelle entreprise 2 ans après alors.

Seban Olivier  : Non parce qu’en réalité, si tu veux, j’avais cette boîte-là et j’avais créé ma boîte concurrente à côté. Et j’avais mis quelqu’un qui gérait ça. Donc, ça a tourné tout seul puisque c’était déjà sur ce principe de dire, Ok…

Olivier Roland : Déjà un vrai entrepreneur. Tu as créé un vrai business.

Seban Olivier  : Ouais, je n’ai fait que du business dans ma vie. J’ai commencé – je ne sais pas – à 18 ans, je faisais du business. Je ne sais pas si tu imagines, à 18 ans, je gagnais… 18-19 ans, je gagnais plus que mon père et ma mère réunis.

Olivier Roland : Waouh, c’est énorme.

Seban Olivier  : Ah, c’était de la folie furieuse.

Olivier Roland : Voilà. En tout cas, on a un excellent exemple. On peut se faire planter, on peut faire une dépression pendant 2 ans, ça n’empêche pas de rebondir, de bâtir un système qui fonctionne.

Seban Olivier  : Encore une fois, j’insiste sur ce point : il est très important de dire, d’approuver, de reconnaître pourquoi on a foiré. A partir du moment où vous le savez, il ne faut pas refaire la même chose parce que si vous refaites la même chose, vous aurez le même résultat. Donc, tous les rouages ne sont pas mauvais dans un processus. Quand tu gagnes de l’argent, tout n’est pas mauvais. Il y a plein de petits maillons qui s’assemblent et des fois, il y en a un qui est plus faible que l’autre. A toi de l’identifier, de le fortifier ou de t’en débarrasser et ça ira beaucoup mieux. Fondamentalement, c’est ça. Et puis surtout, s’il y a un conseil que je peux donner, c’est : Les gens, il faut qu’ils croient en eux.

Il y a beaucoup d’entrepreneurs qui ne croient pas en eux et qui ont peur de la concurrence. Alors moi, tu sais, je viens d’un milieu, donc, l’informatique qui n’a plus rien à voir avec ce que je fais aujourd’hui, mais où on a avait une compète. Mais vraiment infernal, infernal, pour les marges qui se cassaient la gueule petit à petit. Quand tu sais survivre dans ce genre d’environnement, crois-moi, tu sais gagner de l’argent partout. Moi, je n’ai jamais eu ce problème réellement, j’ai une mère très prétentieuse peut-être.

Olivier Roland : Tu as toujours réussi. Tu as du résiliant, tu as toujours réussi à t’en sortir.

Seban Olivier  : J’ai toujours gagné de l’argent. Toujours.

Olivier Roland : Ben écoute, merci. Voilà. C’est ce que je voulais partager dans cette vidéo. Pour une fois, il y a un petit peu une expérience d’échec finalement. Voilà, on en a vu que ce n’est pas toujours facile la vie d’entrepreneur, ça n’empêche pas de rebondir et de tirer parti de ses erreurs. Donc, merci Olivier.

Seban Olivier  : Merci à toi.

Olivier Roland : Et puis donc, à la prochaine, au revoir.

Seban Olivier  : Tchao !

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olivier seban
13 commentaires
  1. Salut les 2 Olivier,

    Une vidéo très inspirante dès le matin, ça fait plaisir !!!

    Je retiens qu’il faut apprendre de ses erreurs, bien prendre du recul même si ce n’est pas facile pour pouvoir changer ce qui ne va pas.

    Et surtout qu’on peut toujours rebondir même après une grosse faillite et une dépression de 2 ans.

    Merci à vous 2 de nous montrer que l’échec n’est pas une fin en soi et qu’au bout du tunnel il y a toujours de la lumière 😉

    Olivier (Roland), tu as tout aussi connu des échecs aussi cuisants qui t’on permis d’être encore meilleur qu’avant ?

    Marc.

  2. Merci pour cet interview tres interessant,

    On comprend egalememt qu un business reposant majoritairement sur un seul client est tres risque car si celui ci fait faillite, tu fais faillite avec lui.

  3. Salut Olivier (Bis)

    Merci pour cette vidéo intéressante qui permet de comprendre une fois de plus que le succès n’est pas d’aller de succès en succès, mais de savoir se relever chaque fois qu’on tombe.

    Et comme tu le dis, il est important de savoir pourquoi ont est tombé afin de ne plus commettre la même erreur au risque d’avoir les même résultats.

    Pour cela, il faut cultiver adopter un état d’esprit qui motive en permanence.

    La clé pour réussir c’est de toujours avoir en esprit le succès qu’on désire.

    Merci à vous

    Amicalement,
    Xavier

  4. Merci d’avoir été*légèremnt* insistant sur la période que chacun traverse à un moment de sa.ses vie.s ! Nous traversons tous des moments de vie avec la mort et l’éloignement de nos proches qui nous affecte, qui peut aller jusque à nous démolir notre squelette mental. Dépot bilan, séparation du conjoint, perte domicile… La plus mauvaise issue proposée est celle médicale: anti-dépresseurs, etc. MAiS Là, l’entreprise s’effondre, son leader d’abord. L’ets peut en crever (le traitement médical).

  5. Salut Olivier²,

    Merci pour cet interview intéressant! Il me rappelle fortement l’une des choses que j’ai apprise en lisant « Réfléchissez et devenez riche » de Napoléon Hill et que j’applique depuis dans ma vie.
    « Tout échec porte le germe du succès » – Napoléon Hill.
    En effet, bien qu’Olivier S. soit passé par une phase difficile suite au dépôt de bilan de sa première entreprise, il s’est très bien relevé! Et, je le pense sincèrement d’autant plus que je l’ai rencontré lors d’un séminaire qu’il organisait pour l’une de ses formations sur l’immobilier.

    Amicalement
    Mickael

  6. Bonjour Olivier,

    quelle personnalité, cet Olivier Seban!
    On aurait envie de copier coller son cerveau de winner.
    J’en redemande , des interviews comme celle-là!

    amicalement,

    Pascal

  7. Bonsoir,

    Je suis de puis un petit moment Olivier Seban, et je trouve qu’il a réellement une mentalité de gagnant ! Félicitation à lui et à toi pour cette article 🙂
    Axel,

  8. Bonjour.
    Petites corrections :
    – il est écrit plusieurs fois « Appel » : c’est « Apple »
    – « pour les marches (0 :08 :56) qui se cassaient la gueule petit à petit » : il s’agit certainement des « marges »
    Cordialement

  9. Bonjour,
    Merci pour cet interview et se partage.
    Il y a quelque chose de très marquant que j’avais appris qu’il fait ressortir encore ici: « Il y a plein de petits maillons qui s’assemblent et des fois, il y en a un qui est plus faible que l’autre. A toi de l’identifier, de le fortifier ou de t’en débarrasser et ça ira beaucoup mieux. »
    Une entreprise une chaîne dans son organisation hiérarchique ou fonctionnel constitué de maillons et la chaîne est aussi forte que son maillon le plus faible. Plein d’entreprise conserve des maillons faibles en se donnant toutes les excuses possibles.

    Merci Olivier

  10. Cet entretien est très inspirant.

    C’est vrai que l’on ne parle que très rarement des échecs mais que c’est une étape nécessaire sur la route du succès.

    J’ai pour ma part monté plusieurs boîtes en Afrique du Sud et ai connu des succès mais aussi pas mal d’échec avec des (longues) périodes de doute.

    J’ai lu le livre d’Olivier et ça rassure de voir que lui aussi n’a pas échappé à la règle « no pain, no gain »… Content qu’il s’en soit si bien sorti…

    Nicolas

  11. Je suis d’accord avec vous, Olivier Seban a vraiment une mentalité de gagnant. Olivier Seban est vraiment impressionnant par sa capacité à rebondir. Bravo à lui.

  12. Quel génie ce olivier Seban. J’ai jamais entendu des conseils aussi prodigieux! Si je le vois je lui baise les pieds immédiatement!
    Je serais prêt à faire tout ce qu’il me demande ; même si ça aurait l’air un peu bizarre, ça serait forcément utile et rentable! Même si ça coûte un peu cher.

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